Toujours avec ses tenailles et sa palme de martyre, elle m'énerve un peu...
ou : quand on m'a arraché des dents, moi, ça ne m'a pas fait sourire.

Star de la peinture, on la trouve partout : du timbre à la carte postale,

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de la fresque aux bois polychromes (les églises bretonnes en raffolent),

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du vitrail et à l'image pieuse, de la gravure italienne sur bois du XVè à l'huile baroque (1731) sur toile,

du livre d'heures de Poitiers (fin XVè) au rétable gothique,

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du musée de Philadelphie (pièce de retable de la renaissance italienne) au Louvre (Zurbaran),

Sainte Apolline est limite people. Icone ou enluminure, peinte par les plus grands, de Zurbaran à Jacopo de Pontormo, de Van der Weyden à Jean Fouquet, jusqu'à la série d'Andy Warhol de 1984 :

De toutes ces représentations, celle que je préfère est un mystère.
Je la garde pour un jour autre que ce dimanche froid, gris et pluvieux...Bien sûr.