jeudi 1er décembre 2005 dernière page Avant dernière page
Lavinia Fontana. suite 2.(voir début)
Des hommes, oui bien sûr, mais pas n'importe qui, le sénateur Orsini (1577), Alfonso Lorenzo Strozzi (1579) qui avait décidé de vivre à Goa, un astronome (1565)...
Tous lettrés, humanistes, confortables, dans leur vêtement chaud et élégant.
A dix ans d'écart, on retrouve le même fauteuil, le livre ouvert (Le portrait du sénateur,au musée de Bordeaux, est d'ailleurs aussi connu sous le titre de Portrait d'homme assis feuilletant un livre), la sablier ( ah, le temps qui passe) et surtout ces enfilades de couloirs ou d'arrières pièces mystérieuses, cabinets de curiosité peut-être, et la signature sur le bras du fauteuil.
Des couples et familles aussi.
On y remarque un jeu de mains sophistiqué.
Ah les couples et les familles !
jeux de mains, jeux de vilains ?
- Et ton tableau là-dedans, celui dont tu nous parles et qui te fascine ?
- Je lui réserve une page pour lui tout seul, mais il m'a entraîné plus loin que je voulais, et je ne suis pas tout à fait prêt... Il y a encore une ou deux choses que je dois vérifier et traduire du portugais, c'est pas évident.