2004
JOURNAL DE JEAN CLAUDE BOURDAIS
The Nogent le Rotrou Times ou Bourdaily on the Web
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vendredi 6 janvier 2006 dernière page Avant dernière page
la statue de Rémy Belleau par Camille Gaté, sculpteur nogentais.
La sculpture la plus célèbre de Camille Gaté n'existe plus qu'en souvenir, nous l'avons déjà dit hier. Sur une carte postale reproduite dans le livre Nogent le Rotrou en cartes postales anciennes de Vidiane Koechlin-Swartz, on peut s'en faire quand même une bonne idée.
Et en encart un portrait de Camille Gaté.
L'histoire complète de cette sculpture est racontée dans le livre du Comte de Souancé sur l'histoire de Nogent le Rotrou :
On notera sur la carte postale Belleau écrit Bellau, et dans la description du texte de Souancé l'affirmation étonnante indiquant que le poète a " les jambes croisées ", ce que contredisent, à mon avis les photos.
Dans le texte de Souancé on dit que Rémy Belleau est en train de relire " quelque passage de ses poésies fines, élégantes, étincellantes " . Dans l'album de Vidiane Koechlin-Schwartz, on va jusqu'à supposer que " Peut-être s'agissait-il de l'ode composée, en 1558, à l'occasion de la rédaction des Coutumes du Grand Perche et figurant en tête de la première édition sur parchemin ".
On peut trouver les oeuvres complètes de Rémy Belleau sur Gallica en 3 volumes, le début de l'Ode à Noigent représentée ci-dessus faisant partie du volume 1.
à télécharger : tome 1, tome2, tome3.
Lire et relire le désir, tiré du recueil Amours et nouveaux échanges de pierres précieuses (1576) .
Rémy Belleau a eut sa fève en 1999.
Suite et fin sur Camille Gaté sans doute dimanche.
Aujourd'hui c'était l'épiphanie."La galette des rois, servie à cette occasion, est une tradition typiquement française qui avait déjà cours au XIVe siècle. La galette était partagée en autant de portions que de convives, plus une. Cette portion supplémentaire, appelée "part du Bon Dieu" ou "part de la Vierge", était destinée au premier pauvre qui se présenterait "
Mais en ce qui me concerne, journée sans galette ni Roi.
Qu'importe me direz-vous, du moment que la Reine était là...