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JOURNAL DE JEAN CLAUDE BOURDAIS The Nogent le Rotrou Times ou Bourdaily on the Web |
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| Pages originales - Tableaux choisis - Peintures de chiens - L'Atelier de Bazille - Saint-Simon - Portraits de Rabelais - Lectures - Femmes d'Alger ... de Delacroix- - André Mare - Raymond Hains - Émile Friant - Joséphine Nivison H - Antoine Chintreuil - Lavinia Fontana - Camille Gaté - | ||||||||||||
| Dimanche 23 octobre 2005 | Hier | Avant hier |
| Un dimanche ordinaire. Il pourrait être résumé en quatre lignes : 1- lever à 10 heures, 2- aller et retour Nogent le Rotrou -Verneuil sur Avre, 3- repas chez ma mère avec mes deux frères Jany, Jacky et son fils Pierre-Stéphane. 4- soirée solitaire passée devant l'écran et suites de lectures. Il pourrait se détailler : - par des citations prises dans les lectures faites, - par la description du travail informatique fait : * Mise à jour du site de mon ami peintre Patrice Cujo et ses nouvelles peintures, que j'aime toujours autant (série les chroniqueurs et nouvelle série des cartes) * Mise à jour du site de mon ami poète Jean-Noël Chrisment, ami de Jacques Réda(site de jean-François Duclos, qui lui est entièrement consacré et sur lequel on peut lire un texte paru en 1993 dans Compagnies de Pierre Michon (éd. Verdier/Théodore Balmoral) aujourd’hui épuisé.) Il pourrait s'étoffer : - par des considérations sur l'actualité, toujours triste et révoltante, - par le dernier film de Jarmusch Broken flowers que j'ai comme les autres aimé, mais particulièrement pour le dépouillement des scènes, de l'histoire et le y'a " rien avant, rien après" (le présent, le film, la vie, ce qu'on veut en fait...),le côté " y'a rien à dire ", " y'a rien à comprendre ", etc. - par un retour sur l'exposition Dada, (j'ai déjà dit le plaisir et mes surprises), mais pour dire que le parti pris par la scénographie est critiquable. Ces petites salles faites pour soi-disant rappeler le jeu d'échec de Duchamp et si pratiqué chez les dadaïstes (mais qui le sait et quelle importance ? et honnêtement, ça a peut-être excité le responsable mais le visiteur et quidam s'en fout complètement), ce couloir de sons bien aseptisé (si on respectait et voulait vraiment rendre hommage à Dada, il aurait fallu mettre des mecs qui gueulaient un peu partout...), cette numérotation des salles ( de A, A1, A2, A3 ... jusqu'à S1 et S2 (sons)... quel branlottage ! Je défie quelqu'un lire plus de dix textes, lettres, affiches, bouts de carnets, articles de journaux parmi je ne sais combien de milliers exposés. Saturation assurée à vitesse grand V. |
 Autant acheter le catalogue et le lire chez soi : Y'a TOUT. Pour 39,9 euros, papier recyclé, regardez ce que vous avez :-1024 pages, -250 chapitres décrivant le mouvement, Plus de 2000 reproductions en couleur d'œuvres réunies dans l'exposition. Calculez : c'est pas cher, quel que soit le calcul fait : 3,8 centimes d'euro la page, et/ou 1,9 centime la reproduction ! Et en prime dans le catalogue : un poème de François-Henri Pinault (PDG de PPR, l'un des deux sponsors de l'exposition) ! (pour ceux qui ne me croient pas, lire l'article de Libération : Pinault ou la récup' au galop). |
| J'aurais pu ajouter quelques photos : - du Perche enflammé par l'automne (mais bon, j'ai déjà donné) - de mes filles qui me manquent (mais bon, en quoi leur photo peut-elle combler ou parler du manque ?) - de n'importe quoi d'insolite... À quoi bon puisque de toute façon : |
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